Ma théorie ne peut s'appliquer aux pratiquants parisiens.misterguil a écrit : ↑lun. 21 août 2023 21:24Des voiles en moins, ok je vois ce que tu veux dire...
Du temps de gréage en moins ?? Là, je ne comprends pas.![]()
Je ne vois pas où se joue la différence au niveau du gréage entre le windfoil et le windsurf.![]()
Sauf si tu grées toutes tes voiles ensembles avant d'aller naviguer, alors oui moins de voiles à gréer, c'est du temps de gréage en moins, mais ce n'est pas tout le monde qui pratique de cette manière.

Je m'explique :
Quand tu vis en bord de mer, tu vas, vu le prix de l'essence très souvent sur le même spot.
Allant sur le même spot, tu utilises bien souvent la même voile.
Dans le petit temps, si tu as gréé 8,2, 7,7 voir moins et que le vent se casse la figure, tu sors un foil prémonté dans le garage que tu as pris sur le spot saoulé que tu es de ne pouvoir te garer en été et tu évites alors de gréer la méga voile que toute façon tu as enfouie sous des tas de trucs divers.
Tu gardes donc la même voile sans avoir a en gréer une autre.
Ma théorie est tout autant valable pour les possesseurs de méga remorques hautes, achat dont ne se privent pas les pratiquants du bord de mer, puisque la traînée quelles impliquent est beaucoup moins gênante sur 20 km que sur 200 et qu'une telle remorque permet de garder monté un voir deux fois montés.
Quand tu es parisien, tout se complique...

Déjà lorsque l'indigène sais sentir d'un coup de truffe au vent tout le potentiel d'une fin d'après midi, le parisien lui est contraint lui de s'en remettre a des oracles tel windguré et aux druides interprétant ces oracles qui portent des noms évocateurs tel puissancevoile.

Une fois sur 4, la session se solde par une "carotte", terme codifié pour exprimer le fait que tu l'as eu dans le c.l.

Ensuite, viens la question rituelle sur la présence d'algues... En effet les spots "parisiens" bien que situés le plus souvent en dehors de Paris sont souvent remplis d'algues. C'est comme ça.
Bon certes. les indigènes eux, ont pour turpitudes les scianobatteries, la radioactivité (naturelle !), les dégazages et les touristes, mais ont s'y fait très bien...enfin non, sauf pour les.derniers, mais pour eux ont fait des pétitions pour que nos élus prennent des arrêtés illégaux contre les camping-cars

En effet, pour de basses considérations d'économie d'essence,

Et ces schismes de notre religion très éloignée du monothéisme (et de la monotypie), portent ses adeptes a incliner (prosterner ?) leurs ailerons devant la weed (que certains fument, d'où le terme de "kiff").
La "quête" de l'aileron couché tourne souvent à l'obsession, certains cherchant à débusquer l'aileron weed en version power comme d'autres recherchent des vieilles Ferrari 250 (attention, c'est un peu plus cher) et en occitanie, le sujet peu tourner à l'obsession, certains adeptes du "PAH" associant l'aileron couché à a peu près tous les sujets. (C'est pas méchant, c'est de l'humour).
Certains, sur ces mêmes plans d'eau insistent pour naviguer en foil...ils s'échangent par tradition orale ou écrite sur l'emplacement des hauts fonds (la, mon foil dernier cri à 3000 balles a pris un peu cher : traduisez, il a touché le fond).

Je comprends ceci dis que l'on ne soit pas un fervent adepte de la pratique dans ces conditions.
D'autant que le second spot "parisiens", est constitué par...le Crotoy.
Passage obligé, les membres de cette secte étrange se regroupent le plus souvent a l'île Adam (au Mac Donald's très exactement), sorte de tour Saint-Jacques sur le chemin de leur pèlerinage.
Vaste baie utilisable 2 heures par jours lorsque la lune est bien lunée, inutile d'espérer y utiliser un foil et effectivement, vaut mieux y gréer plusieurs voiles d'entrée, histoire de ne pas rater le coche.
Bon, certes, tout ce qu'il y a autour du Crotoy ressemble peu ou prou à une friteuse dès qu'il y a un peu d'air mais le choix des spots affectionnés par les parisiens posent souvent question.
Pourquoi par exemple aller en séminaire à Vauville en vent de terre lorsque tous les indigènes vont à Colignion en vent de travers, bien en sécurité derrière la digue ?
Colligon ou les indigènes eux, appliquent ma théorie (qui est en fait la leur), d'utiliser un foil lorsque le vent faibli sans changer de voile ni même parfois de flotteur.
2 campings permettant d'y mettre un mobil home ou une caravane sont sur le spot.
Cherbourg est accessible en transports en commun ce qui pollue beaucoup moins que les longs et fatiguants trajets en voiture et...de nombreux parisiens intra ou extra utilisent cette solution.
Donc si... finalement, ma théorie s'applique aussi aux parisiens.